Tanques (GM II) - Francia: libros - historia, modelos y técnica (2/2)

Hotchkiss H35 & H39 : Through A German Lens (Camera On)

This photo-album in the "Camera On" series contains over 90 photographs of the French cavalry tank developed prior to WWII. The Hotchkiss H35 or Char léger modèle 1935 H was a slow but well-armoured light infantry support tank but was rejected by the infantry and instead adopted by the cavalry.
From 1938 an improved version was produced with a stronger engine, the Char léger modèle 1935 H modifié 39, which from 1940 was also fitted with more powerful 37 mm gun.

Over 500 Hotchkiss tanks were captured and used by the Germans as Panzerkampfwagen 35H 734(f) or Panzerkampfwagen 39H 735(f), most of them for occupation and assigned to police units or second line logistic support troops.

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Renault R35 & R40 through a German lens (Camera On)

The Renault R35, an abbreviation of Char léger Modèle 1935 R or R35, was a French light infantry tank of the Second World War. Designed from 1933 and produced from 1936, the tank was intended as an infantry support light tank. To this end it was relatively well-armoured but slow and lacking a good antitank-capacity, fitted with a short 37 mm gun.

At the outbreak of the war, the antitank-role was more emphasized leading to the development and eventual production from April 1940 of a subtype with a more powerful longer gun, the Renault R40. Due to the defeat of France the R35/40 remained the most numerous French tank of the war. About 1680 vehicles having been produced by June 1940.

In this volume the author provides a detailed impression of these vehicles through original photographs, taken during the war by German soldiers.

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Panzer III vs Somua S 35 - Belgium 1940 (Osprey)

The armour clashes in May 1940 were the biggest the world had yet seen, as the sweeping German advances of that period came to epitomize Blitzkrieg. The Wehrmacht's Panzer III was well matched by the French Somua S35 tanks, the two representing very different design philosophies and yet both ranking among the best in the world at the time.
Fully illustrated with specially commissioned colour artwork, this work draws upon the latest research to provide a definitive analysis of the clash between these two high-quality, cutting-edge tank designs. It describes one of the key duels at the heart of a new type of warfare, in the epic battles at the outset of Hitler's conquest of France and the Low Countries.

Contents: Introduction - Chronology - Design and Development - Technical Specifications - The Combatants - The Strategic Situation - Combat - Statistics and Analysis - Conclusion - Further Reading - Index.

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Panzer IV vs Char B1 Bis - France 1940 (Osprey)

The Battle of France in 1940 involved the first large-scale tank-against-tank battles in history. The massive clashes at Stonne, Hannant, and Gembloux involved hundreds of tanks on both sides, yet have faded from memory due to the enourmity of the French defeat.

This book examines two of the premier opposing tanks of the Wehrmacht and the French Army, the German PzKpfw IV and the French Char B1 bis. With a complete history of the design, development, and deployment of these armoured fighting vehicles, the story of these great battles is once again brought to life.

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Captured French Tanks Under the German Flag

This book gives an account of the French model tanks used by Germany during WWII.

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Chars B au combat - Hommes et matériels du 15e BCC

En cette après-midi du 16 mai 1940, un groupe d'une vingtaine de chars B appartenant à l'armée française, des engins de 32 tonnes armés chacun d'un canon de 75 et d'un canon de 47 - ce qui fait d'eux le plus puissant matériel blindé existant dans le monde en 1940 - fait son approche sur une petite ville qui va bientôt entrer dans l'Histoire : Montcornet. Depuis l'avant-veille, l'ennemi a crevé le front et ouvert une brèche gigantesque dans le dispositif allié. Lancés en enfants perdus dans la trouée, les chars de bataille français ont une mission simple : « Détruisez tout sur votre passage », leur a simplement dit le bouillant général Giraud...
Ce fait d'armes - qui précède de 24 heures l'action célèbre du colonel de Gaulle sur la même localité, avec des chars du même type -, est l'un des nombreux épisodes que ce livre retrace avec une exactitude rigoureuse et un saisissant souci du détail, appuyé sur les témoignages directs des combattants.

Ce quatrième tome de l'Encyclopédie de l'Armée française est illustré à profusion par une extraordinaire collection de photographies d'époque pieusement conservée dans les albums-souvenirs des Anciens du bataillon et réunie pour la première fois : plus de 500 documents, quasiment tous inédits, ont été rassemblés et parfaitement classés dans cet ouvrage en vue de constituer une véritable revue de détail, char par char.

De nombreux profils en couleurs restituent tous les détails des marques et camouflages des chars B engagés dans les actions relatées, tandis que des éclairages sont apportés sur les questions cruciales touchant d'une manière plus générale aux chars de bataille français de l'époque : armement, rayon d'action et ravitaillement en essence, moyens de transmission radio, disponibilité des matériels. Une documentation historique de première main qui enrichit l'éternel débat sur l'« étrange défaite » subie par la France en 1940.

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Chars D2 au combat - Les éléphants de guerre du colonel de Gaulle

En 1937, le colonel de Gaulle passe de la théorie à la pratique. L'homme du « char-papier », auteur en 1934 d'un véritable manifeste en faveur du corps cuirassé - Vers l'armée de métier, son plus célèbre ouvrage - va commander pendant deux ans à Metz un régiment de chars de combat, le 507e RCC.
Là, disposant des chars puissants de 20 tonnes, type D 2 construits par Renault, il fait de son unité, soumise à une discipline sévère et un entraînement de tous les instants, un remarquable outil de combat dont il attend « toujours le plus ».

La guerre survenue, Charles de Gaulle reçoit un commandement supérieur, à la 5e armée. Pour autant, il ne quitte pas ses chars D 2 des yeux et les présentera au président Lebrun, sur le front des troupes à l'automne 1939, au cours d'une séquence demeurée célèbre.
Et, au moment d'engager la bataille, le 16 mai 1940, les premiers chars à rejoindre sa 4e division cuirassée créée ex-nihilo, sont, une fois encore, les D 2. Ces matériels armés d'un excellent canon de 47 antichar seront engagés offensivement à Montcornet, puis à Crécy-sur-Serre et sur la Somme devant Amiens, avant de participer aux derniers barouds de la bataille de France.

Une épopée de sang et d'acier, au cours de laquelle les équipages n'auront pas démérité.

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